Articles par alaquarelle

I'm living in Provence between Aix-en-Provence and Avignon, I enjoy the country bathed in a beautiful light. My favorite places are the narrow streets of the villages of the Luberon and the stairs of the old Marseille. With a pencil, a small piece of paper and some watercolors, I try to show the atmosphere of the urban landscapes I love. Also stuff made ​​during long hikes with walnut washed and sometimes a little watercolors These doodles are always made very quickly for most shows. I think the scribble must tell us a story, a mood without worrying too much of the reality

Les cartes OpenTopoMap pour Garmin

Ces cartes OpenTopoMap Garmin fournissent le style de carte topographique hors ligne pour les appareils et programmes Garmin tels que Basecamp et QMapShack.
Caractéristiques spéciales: Style de carte topographique clair similaire à la carte en ligne OpenTopoMap Hillshade et carte d’élévation inclus Heures d’ouverture dans les informations de POI (mais recherche d’adresse de rupture) Capacité de routage Lignes de contour en tant que couche facultative

Pour l’installation de la carte Garmin il suffit de copier le * .img dans le dossier / Garmin / de la carte microSD du GPS eTrex Touch . L’installation dans la mémoire embarquée n’est pas recommandée.
S’agissant de l’installation dans l’application Basecam
Décompressez le * .zip dans le dossier C: / ProgramData / Garmin / Maps / et démarrez Basecamp. Aucune autre installation requise.

La pomme d’orange

Source : http://mondedelamarche.canalblog.com/

La pomme, à l’origine, désigne tout fruit charnu, qu’il soit à noyau ou à pépins, et l’on peut penser que le fruit interdit « agréable à la vue » du Jardin d’Eden, était sans doute une orange (Chez les latins, la pomme était désignée par le mot malum, et le verger par le mot pomarium). En ancien français, l’orange s’appelait « pomme d’orange ». La tradition nous rapporte que Moïse, inspiré par les révélations de Dieu, serait l’auteur de la Genèse. Pourtant, le texte relatif au Jardin d’Eden, reprend celui d’un poème sumérien. Le plus répréhensible n’est pas l’emprunt, très courant en ces temps de traditions orales où les textes se transmettaient de génération en génération : l’inadmissible, c’est d’avoir sacralisé un écrit dont le contenu a été dénaturé afin de culpabiliser l’humanité pour mieux assurer le contrôle des foules par les prêtres, par la nécessité du rachat et du salut de l’âme. Manger impunément le fruit de l’arbre de la connaissance aurait assuré à l’homme une promotion insupportable en révélant explicitement sa part divine, le rendant mature et surtout maître de son destin. Il devenait autonome et non plus inféodé. Un récit que l’on prend au pied de la lettre (1), y compris l’anecdote de la côte d’Adam qui n’est, dans le texte d’emprunt, qu’un jeu de mots. Pour rendre plus crédible ce fait de prime abord, ridicule, les théologiens se sont échauffé la cervelle, et ont fini par trouver une explication. L’on a encore joué sur les mots, en voulant faire croire qu’il s’agissait de « côté » : être à côté de quelqu’un, lui tenir compagnie, assurant par ce biais, la promotion du premier des couples, hélas fondé sur la subordination de la femme. Notons du reste qu’il n’est plus question d’Adam et Ève, ailleurs dans le texte de la Bible! Et pour une faute qui nous apparaît somme toute vénielle, c’est la condamnation à perpétuité. L’on croit toujours entendre Yahvé exerçant son pouvoir tyrannique et sans merci, insatiable de sacrifices, car dit-il « je suis le seigneur votre Dieu, le Dieu fort et jaloux, qui venge l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération » (le péché marque la descendance, au même titre que l’imprégnation alcoolique!). Certes, dans le texte d’origine, Enki éprouve du regret et souffre, mais l’on y montre avant tout qu’une seule chose : le pouvoir rédempteur de l’amour. Nul trace de misogynie, bien au contraire; nulle tentation si ce n’est celle, toute naturelle, qu’Enki éprouve pour les femmes. C’est la sexualité exubérante, joyeuse et créatrice, à l’œuvre dans l’Univers, la curiosité vitale où les expériences ne sont pas fautives.

L’on peut rapprocher aussi le Jardin d’Eden de celui de la mythologie grecque : le Jardin des Hespérides qui présente de nombreuses analogies. Celui-ci est également un verger rempli de fruits de toutes espèces, mais surtout de « pommes d’or ». Un dragon à cent têtes, fils de Gaïa (La Terre) en assure la garde. Héraclès le tue, rapporte ces pommes d’or, accomplissant ainsi le 12e de ses travaux. Ce fruit est l’orange, symboliquement tentant, rond, jaune orangé, comme le disque solaire au jour levant. La sagesse populaire ne fait-elle pas inconsciemment allusion à cette précieuse pomme d’or par l’expression « ma moitié d’orange » lorsque l’on a rencontré l’âme sœur? La tentation est ici celle de l’effraction dans une propriété pour y commettre un vol : notre demi-dieu n’est pourtant pas puni pour ce méfait! Autre similitude : Héra, reine grecque des Dieux, qui s’avère plus que la tentatrice, car elle est l’instigatrice de ce vol commandité. Notre super héros est directement manipulé, là encore par une femme, mais à la décharge de celle du Jardin d’Eden, Ève, mère de l’humanité, ne désobéit pas de sa pleine initiative, mais sous l’influence pernicieuse du serpent (la Création n’est-elle pas piégée par les êtres que Dieu a lui-même engendrés?). Comment ne pas pardonner à Ève, toute naïve, car elle vient de naître (du latin nativus, « natif »).

Heureusement, Dieu, s’il existe, n’est pas celui de la Genèse ou du Lévitique (2).

M.M.

(1) Pendant des siècles, au Moyen-Âge, on a cherché le plus sérieusement du monde, l’emplacement de ce Paradis Terrestre… Une certitude en tout cas : le 1er camp naturiste de l’histoire devait se trouver dans un pays au climat chaud favorable à la culture des agrumes!

(2) L’humaniste ne peut être qu’atterré par ce code implacable, si contraignant, qu’il devient impossible de demeurer innocent. Même celui qui a fauté involontairement, est considéré comme coupable. Aussi, l’impérieuse nécessité d’être sain et pur, oblige à recourir à toute une panoplie de rituels et de sacrifices gradués à l’échelle des péchés commis . Mais le plus affligeant, c’est qu’aujourdhui encore certaines communautés religieuses s’en inspirent (j’ai lu avec soulagement, que ma coiffure était relativement conforme à la prescription, car il ne faut point raser les coins de sa barbe, 19. 27 )

21 September, 2018 21:45

In 834, Alfonso II, King of Asturias, set out from Oviedo, thus tracing the first pilgrimage route to Compostela (later named Camino primitivo, or Primitive Way). In 950-951, it is Bishop Godescalc, accompanied by a long procession, who makes the pilgrimage from Puy-en-Velay (then called Le Puy-Sainte-Marie).

Thanks to the will of the successive bishops of Santiago de Compostela (and, first and foremost, Diego Gelmirez, 1070? – 1140), the pilgrimage was quickly organized. Throughout the route that will become the Camino Francés, new cities are born around the bridges that allow to cross the streams, and abbeys and hospitals that welcome pilgrims.

The pilgrimage reached its peak in the 12th century. It is also from this period that dates the Codex Calixtinus, a collection of texts devoted to St. James the Great and his pilgrimage, whose fifth book, the Pilgrim’s Guide to Santiago de Compostela, will be considered as the ancestor of the travel guides. In particular, it describes the four major French routes (from Tours, Vézelay, Le Puy-en-Velay and Saint-Gilles), as well as the Spanish stages.

By following these itineraries, and many others who will leave no trace in history (for the pilgrim, it must be remembered, was leaving his home and was heading towards notorious rallying points), Thousands of men and women, from all walks of life, go on foot or on horseback to the tomb of the apostle.

Their motivations are numerous. Most leave on their own for indulgences and gaining graces; others hope for physical healing; yet others offer the sufferings of the way through penitence, thus hoping for the remission of their sins; finally, some prisoners are condemned to carry out the march chained and barefoot, to obtain the remission of their sentence.

In the sixteenth century, strong criticism against the pilgrimage began to be heard. Humanist philosophers, like Erasmus, denounce the superstitions and the abuses attached to it. Luther adds to this by questioning the authenticity of the apostle’s relics and concludes: "Let it fall and do not go. Let him whoever wants to travel but you stay at home. "

Surprisingly, the men of the Church of the Catholic Counter-Reformation will abound in this sense, extolling the superiority of the spiritual pilgrimage on earthly pilgrimage. The rationalist philosophy of the Enlightenment would complete making this practice suspect.

At the beginning of the nineteenth century, new forms of devotion, especially Marian, would compete with the pilgrimage to Compostela. On July 25, 1867, only about forty pilgrims gathered at Saint-Jacques for the Apostle’s feast.

In 1900, Bishop Duchesne brought the coup de grace to the cult of Saint James, calling into question not only his apostolate in Spain but also, like Luther, the authenticity of the venerated relics in Santiago de Compostela. by Pope Leo XIII ??

Le Chemin vers le Centre

Ce texte aurait peut être sa place dans la rubrique « spiritualité ». Il est le reflet de mon vécu sur mon premier Chemin vers Compostelle. Tout ceci n’est que personnel et je comprends parfaitement qu’on n’ait pas le même ressenti ; J’ai simplement envie de vous faire partager le bonheur qui a été le mien.

Le Chemin vers le Centre

Cheminer, c’est d’abord prendre la décision de partir : quitter son confort intellectuel, ses certitudes qui ont bloqué et enfermé dans une gangue opaque la relation à l’autre. Placer son corps dans une relation directe avec le monde extérieur et essayer de positionner son âme dans cette relation si particulière à la Nature et à son Créateur. Force et Beauté seront les piliers essentiels dans ce cheminement. La Sagesse sera plus diffuse, perceptible lentement au fil des jours quand espace et temps seront vraiment dissous.

Dans l’émotion du départ, les questions se bousculent : Vais-je y arriver ? Jusqu’où pourrais aller ? Quel est le but profond de ce cheminement avec moi-même ? Est-ce le Chemin lui-même ou un lieu précis d’arrivée ? L’intellect est encore là, envahissant ! Les rudes montées du début vont très vite les dissoudre, rendant bien secondaires les satisfactions de l’esprit. Poser des millions de fois un pied devant l’autre sur un Chemin foulé pendant des siècles par des milliers de cheminants, est-ce nécessaire pour se relier au Divin ? La réponse ne peut apparaître au début de ce cheminement : Espace et temps sont encore trop distincts.

L’Espace est perçu comme immense et je me dis que je n’aurais pas le temps pour le parcourir. Tout cela va évoluer au fil du temps ! D’abord, il est vain de se fixer une limite de temps : certes, l’inquiétude de trouver un abri à la fin d’une étape va bousculer une échelle de temps trop précise ; il s’y ajoute une échelle de distance : fatigue, douleurs diverses, emplacement d’une étape possible, découragement, doute, peuvent imposer un raccourcissement du cheminement.
L’essentiel est ailleurs : il faut apprendre à « lâcher prise » ! Le temps du Chemin est un temps sacré qui participe à l’éternité. Il faut le laisser m’envahir. Le Chemin est semblable au désert : il apprend à être le nomade cherchant l’Unité primordiale et peut être aussi sa source.

Au début, j’ai perçu le Chemin comme un parcours géographique. Peu à peu, je l’ai perçu comme un voyage dans un passé historique et enfin comme le voyage dans les profondeurs de mon être, découvrant ainsi un pays n’existant sur aucune carte ni dans aucun guide.

L’outil essentiel dans ce cheminement sera donc le Silence. Décider de cheminer seul, c’est déjà le début de l’apprentissage du silence. Je vais découvrir que ce silence est en fait très habité. Quand arrive le sentiment de plénitude dû au fonctionnement des endorphines, il y a une mise à l’unisson de mes fonctions physiologiques et sensorielles. L’acuité sonore devient très grande et je perçois la corrélation entre le rythme de mes pas (action que je décide) et le battement de mon cœur (action automatique). Le silence m’enveloppe comme un fluide dont le bourdonnement assourdissant est semblable à un monde sous-marin qui évoque peut être ma vie intra-utérine. Le Chemin traverse souvent d’immenses paysages nus, déserts, sans aucun arbre où pourraient gazouiller des oiseaux : il ne reste que le bruit des pas et des bâtons. Je suis relié à la terre non seulement par mes pieds, mais aussi par mes bâtons dont le bruit sur le sol va devenir un véritable métronome. Chaque pas émet un son particulier bien plus éphémère que la trace de ce même pas sur la terre que la pluie (eau) ou le vent (air) effaceront plus tard.

Mettre un pied devant l’autre et recommencer comme dit la chanson, c’est aussi regarder plus souvent la terre que le ciel. S’il est dit que « Ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas », c’est sans doute vrai sur le plan spirituel, mais pas dans le quotidien des montées et des descentes ! Apprendre à observer le Chemin est bien le premier pas pour s’apprendre soi-même. Plus l’immensité de l’horizon m’enveloppe et plus je me sens proche d’un univers intime. Le superflu est éloigné, il ne reste que l’essentiel. J’apprends à vider mon sac au propre comme au figuré dans un dépouillement progressif à la fois physique et mental. J’oublie le « je » et devient totalement réceptif à tout ce qui m’entoure. Mes sens se confondent : j’écoute avec mes yeux, je regarde avec mes oreilles. Fatigué, je cueille une mûre qui me parait merveilleusement savoureuse et donneuse d’énergie.

Energie. Tout le Chemin est un réservoir d’Energie qu’il me faut savoir appréhender. A l’occasion d’un Office dans une ancienne commanderie Templière (Cizur Minor), l’officiant accomplit le rite chrétien et bénit pèlerins et cheminants unis dans une véritable chaîne d’union. Je reçois avec intensité cet échange d’énergie tant horizontal que vertical. Le sommeil peut raviver l’énergie perdue, mais il y a d’autres moyens plus subtils : commencer son Chemin à la fraîcheur de la nuit, totalement seul, encore à jeun, tout en admirant la voûte étoilée où la Voie Lactée illumine la direction du Chemin.
Il m’a été donné un jour, après Castrojeriz, d’arriver au petit jour après une forte montée, sur un plateau désertique balayé par un vent glacial. Mes yeux ne distinguaient partout que du noir autour de moi et de tous côtés jusqu’à l’infini. Une chaleur surprenante rayonnait du sol noirci par les brûlis, contrastant avec le vent glacial qui soufflait. Dante aurait il ainsi vu l’Enfer ? Alors que jusque là je n’avais senti que terre, eau, air, je me retrouvais confronté violemment au feu sensé purifier, mais quoi ?

Très éprouvé par cette sensation de feu dans cette solitude à la fois chaude et glacée, j’ai essayé de relier ma conscience au Divin. Mais que c’est difficile !

Il n’y a pas de hasard, encore moins sur le Chemin qu’ailleurs. Ilias, jeune pèlerin venu du Lichtenstein, souffrant d’ampoules, a ralenti son pas et cheminé un moment avec moi. Abordant la spiritualité, il me dit transporter quelques livres avec lui. Surprise : un petit volume de Maître Eckhart. Nous nous asseyons au bord du brûlis du Chemin et méditons sur cette pensée : « L’âme vient de l’Unité divine mais la création l’a placée dans le monde réel au sein de la multiplicité et il lui faut s’en abstraire pour retourner à l’Unité ». Ainsi ces quelques instants avec Ilias m’ont fait mieux appréhender de « Retrouver la béatitude infinie au point Central où tout est Un ».

Deux jours plus tard, toujours au petit matin, j’ai la surprise de découvrir à un passage de col en région désertique et froide, une grande spirale de plusieurs dizaines de mètres de diamètre faite de pierres du Chemin. Fatigué par la montée et ayant très froid, je n’ai pas su trouver le temps de la parcourir en entier jusqu’à son centre. Cela restera un des regrets de mon Chemin.

A Eunate, j’aurai la joie de toucher et de suivre avec mes doigts les deux spirales directes et inverses sculptées au XII° siècle dans ce haut lieu symbolique où une représentation de Baphomet voisine avec les Vierges folles et les Vierges sages ! Ces deux spirales auront contribué à me conduire vers le centre et à m’approcher un peu de cette Sagesse que toute la Beauté et la Force du Chemin m’ont apportée.

Le Chemin, qu’il soit de pierres, d’herbe, de mousse, de ciment, de terre, d’eau, de feu, façonne, transforme, modifie profondément celui qui s’y donne. Il est Chemin de modestie et de silence mais aussi porteur d’une forte spiritualité et d’échange. Le vrai chemin a commencé à mon arrivée. Et celui-ci sera beaucoup plus long à parcourir.

Chacun peut faire un Chemin. Il n’est pas nécessaire de faire des centaines de kilomètres pour essayer d’atteindre le Centre. Dans le silence de sa chambre, on peut aussi cheminer très loin et essayer de l’atteindre. C’est seulement beaucoup plus difficile !

Que la Beauté du Chemin te donne la Force d’atteindre l’Etoile de Compostelle et d’y acquérir la Sagesse…

Ultréia !

Jean-Marie troisdemi(chez)msn.com

J’espère ne pas vous avoir trop ennuyé avec ces réflexions personnelles. Si vous le désirez, vous pouvez me joindre à l’adresse de courriel ci-dessus.

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Quel chemin Espagnol ?

La via de la Plata est un bon choix pour un deuxième ou troisième chemin. Cependant les conditions climatiques peuvent être difficiles. Il faut partir tôt au printemps de Séville pour ne pas trop souffrir de la chaleur.
Par ailleurs, les étapes sont longues notamment à cause des hébergements moins nombreux que sur le Frances.
Enfin, il est bon d’apprendre quelques mots d’espagnol parce que l’anglais et le français sont peu parlés dans les provinces traversées.

mapacaminos

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Quel chemin choisir ?

Au moment de décider où vous envisagez de commencer votre Camino de Santiago, vous devez évaluer un certain nombre de circonstances :
– quel chemin choisir ? Je pense que pour un premier chemin, il est préférable d’arriver à Santiago de Compostela (Saint-Jacques-de-Compostelle)
– combien de jours vous voulez ou vous pouvez marcher ?

– à quel moment de l’année allez-vous faire ce chemin choisi ? Entre Pâques et Octobre il y a un plus grand nombre d’hébergements ouverts et qu’il fait généralement moins froid et qu’il pleut moins.

Par conséquent, oui, c’est un moment où il y a beaucoup d’autres pèlerins.
D’autre part, vous devez être conscient de vos possibilités physiques et évaluer combien de kilomètres allez-vous marcher par jour.
Chaque voie est généralement divisée en étapes. Mais vous pouvez les adapter à votre guise. Tout cela vous aidera à choisir le chemin qui vous convient le mieux.
Pour un premier chemin, je conseille de choisir le Camino Francés.
En effet, le nombre important de pèlerins sur ce chemin d’environ 800 km a entraîné la création de nombreux services destinés aux marcheurs : hôtels, albergues, gîtes, taxis, transports des sacs à dos etc.

La voie du Puy-en-Velay (GR  65) longue de 735 km est également un bon choix pour une première fois.